Les clôtures le long de l'autoroute
date 13/01/2024 - 20:48 | micro_reportage Christophe Buquet
L'A63 Landes traverse un milieu naturel peuplé d'une faune sauvage. Ces clôtures sont installées pour votre sécurité mais aussi pour protéger les animaux.
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Le long de l'autoroute A63 Landes, entre Salles et Saint-Geours-de-Maremne, ces clôtures évitent aux animaux d'arriver sur l'autoroute et donc réduisent les accidents. Elles permettent aussi le passage de la faune importante, avec « du gros et du moyen gibier », précise Olivier Quoy, le directeur général d’Atlandes. Il ajoute « qu'il est important d'empêcher les animaux d'arriver sur l'autoroute, pour les protéger eux-mêmes, mais évidemment pour protéger les automobilistes. »
Il existe différentes sortes de clôtures adaptées à la taille des animaux. Les plus grands comme les chevreuils, les cerfs ou les sangliers représentent le plus de risques sur la route, mais « il ne faut pas oublier les petits animaux, tels que les grenouilles ou les petits mammifères du sol, pour lesquels il y a des clôtures spécifiques à maille plus petite pour éviter qu'ils aillent sur l'autoroute », ajoute Olivier Quoy.
Ces clôtures font l'objet d'inspections régulières. Si elles sont dégradées ou si un animal errant est signalé, « les patrouilleurs interviennent immédiatement pour aller les réparer », précise Olivier Quoy.
Et pour permettre aux nombreuses espèces de traverser la chaussée, des passages grande faune ont été construits, comme celui qui se trouve près de la barrière de péage de Saugnacq-et-Muret.
Il existe différentes sortes de clôtures adaptées à la taille des animaux. Les plus grands comme les chevreuils, les cerfs ou les sangliers représentent le plus de risques sur la route, mais « il ne faut pas oublier les petits animaux, tels que les grenouilles ou les petits mammifères du sol, pour lesquels il y a des clôtures spécifiques à maille plus petite pour éviter qu'ils aillent sur l'autoroute », ajoute Olivier Quoy.
Ces clôtures font l'objet d'inspections régulières. Si elles sont dégradées ou si un animal errant est signalé, « les patrouilleurs interviennent immédiatement pour aller les réparer », précise Olivier Quoy.
Et pour permettre aux nombreuses espèces de traverser la chaussée, des passages grande faune ont été construits, comme celui qui se trouve près de la barrière de péage de Saugnacq-et-Muret.
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