Première certification mondiale pour un taxi volant en Chine
date 22/10/2023 - 15:02 | micro_reportage La rédaction
La Chine a accordé la première certification mondiale à un taxi volant autonome électrique, propulsant ainsi la start-up chinoise EHang au sommet du secteur en pleine croissance de la mobilité aérienne urbaine.
Image d'illustration
La mobilité aérienne urbaine s'apprête à connaître une révolution. Vendredi dernier, la Chine a marqué l'histoire en décernant la première certification mondiale pour un taxi volant autonome électrique. L'heureuse élue est la start-up chinoise EHang, qui s'est imposée comme une figure dominante dans l'industrie naissante du transport aérien urbain.
Ce certificat n'est pas seulement un morceau de papier. Il est la preuve concrète que l'appareil est sécurisé et apte à la navigation. L'aéronef en question, le EH216-S, est un bijou de technologie. Il est capable de décoller et d'atterrir verticalement, le plaçant parmi les eVTOL (aéronef à décollage et atterrissage verticaux électrique) les plus avancés du marché. Avec ce certificat en poche, EHang est sur le point de transformer le paysage urbain, et peut-être bientôt, pourquoi pas, les cieux des villes du monde entier.
Cette certification n'a pas été une mince affaire. C'est le fruit d'un processus long, rigoureux et coûteux. Cependant, les retombées sont potentiellement immenses car avec ce feu vert de la CAAC (Administration chinoise de l'aviation civile), la société EHang se rapproche de son objectif : voir ses taxis volants transporter des passagers payants dans le ciel chinois.
L'entreprise a vu le jour en 2014 et a fait son entrée à la Bourse au Nasdaq en 2019. Son siège social est établi dans la grande métropole de Canton, située dans le sud de la Chine.
Cette avancée notable fait suite à de nombreuses expérimentations à travers le monde. Aux États-Unis, plusieurs entreprises sont en phase avancée de tests pour leurs propres eVTOL. En Europe, la start-up allemande Lilium a réalisé plusieurs vols d'essai réussis avec son jet électrique à cinq places. De même, Volocopter, également basée en Allemagne, a déjà testé son taxi volant dans des villes comme Singapour.
Ce certificat n'est pas seulement un morceau de papier. Il est la preuve concrète que l'appareil est sécurisé et apte à la navigation. L'aéronef en question, le EH216-S, est un bijou de technologie. Il est capable de décoller et d'atterrir verticalement, le plaçant parmi les eVTOL (aéronef à décollage et atterrissage verticaux électrique) les plus avancés du marché. Avec ce certificat en poche, EHang est sur le point de transformer le paysage urbain, et peut-être bientôt, pourquoi pas, les cieux des villes du monde entier.
Cette certification n'a pas été une mince affaire. C'est le fruit d'un processus long, rigoureux et coûteux. Cependant, les retombées sont potentiellement immenses car avec ce feu vert de la CAAC (Administration chinoise de l'aviation civile), la société EHang se rapproche de son objectif : voir ses taxis volants transporter des passagers payants dans le ciel chinois.
L'entreprise a vu le jour en 2014 et a fait son entrée à la Bourse au Nasdaq en 2019. Son siège social est établi dans la grande métropole de Canton, située dans le sud de la Chine.
Cette avancée notable fait suite à de nombreuses expérimentations à travers le monde. Aux États-Unis, plusieurs entreprises sont en phase avancée de tests pour leurs propres eVTOL. En Europe, la start-up allemande Lilium a réalisé plusieurs vols d'essai réussis avec son jet électrique à cinq places. De même, Volocopter, également basée en Allemagne, a déjà testé son taxi volant dans des villes comme Singapour.