Valentin Prades, force et finesse
date 05/11/2023 - 16:45 | micro_reportage Ivan Mouton
Après Rio et Tokyo, le pentathlète tricolore qui participera à ses troisièmes JO, espère décrocher à Paris la première médaille olympique française de l’histoire de la discipline.
Valentin Prades, force et finesse
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Déjà assuré de participer aux prochains Jeux olympiques, Valentin Prades nous a reçu à l’INSEP où il se prépare et s’entraîne « 30 à 35 heures par semaine ». Le pentathlète aux trois titres de champion du monde et qui avait terminé au pied du podium aux JO de Rio en 2016, espère pouvoir ajouter à son palmarès, à Paris l'an prochain, la « première médaille olympique pour le pentathlon moderne français masculin ».
Une discipline « ancestrale », olympique depuis 1912, « qui allie cinq sports : l’escrime, la natation, l’équitation, le tir et la course, lors d’une seule épreuve », explique-t-il. Un combo exigeant physiquement et mentalement qui a séduit très jeune Valentin Prades, qui mesure 1m93 pour 93 kilos : « Il n’y a pas de routine, on a des semaines qui sont toujours différentes, on enchaîne des sports qui sont diamétralement opposés, c’est-à-dire qu’on va passer sur un sport d’équilibre avec un contact animal, l’équitation, à un sport de combat… »
« Je crois que c’est un sport qui est complet », résume le pentathlète de 31 ans qui raconte que c’est « en tout cas comme ça que Pierre de Coubertin l’a réintroduit aux Jeux olympiques modernes ». Au-delà du sport en lui-même qui oblige à allier force et finesse, l’épreuve s’avère particulièrement télégénique, affirme Valentin Prades : « On est dans un stade, on pose une piscine dedans, une piste d’escrime, un parcours d’équit’ et on fait du tir et de la course. Un spectateur en 1h30 voit les cinq épreuves. »
Les épreuves de pentathlon moderne des JO de Paris se dérouleront du 8 au 11 août 2024 au château de Versailles.
Une discipline « ancestrale », olympique depuis 1912, « qui allie cinq sports : l’escrime, la natation, l’équitation, le tir et la course, lors d’une seule épreuve », explique-t-il. Un combo exigeant physiquement et mentalement qui a séduit très jeune Valentin Prades, qui mesure 1m93 pour 93 kilos : « Il n’y a pas de routine, on a des semaines qui sont toujours différentes, on enchaîne des sports qui sont diamétralement opposés, c’est-à-dire qu’on va passer sur un sport d’équilibre avec un contact animal, l’équitation, à un sport de combat… »
« Je crois que c’est un sport qui est complet », résume le pentathlète de 31 ans qui raconte que c’est « en tout cas comme ça que Pierre de Coubertin l’a réintroduit aux Jeux olympiques modernes ». Au-delà du sport en lui-même qui oblige à allier force et finesse, l’épreuve s’avère particulièrement télégénique, affirme Valentin Prades : « On est dans un stade, on pose une piscine dedans, une piste d’escrime, un parcours d’équit’ et on fait du tir et de la course. Un spectateur en 1h30 voit les cinq épreuves. »
Les épreuves de pentathlon moderne des JO de Paris se dérouleront du 8 au 11 août 2024 au château de Versailles.
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