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Dépanneur d’autoroute : un métier passionnant et exigeant

En cas de panne sur l’A63, des dépanneurs agréés interviennent en moins de 30 minutes. Un métier exigeant, souvent solitaire, où la relation humaine compte autant que la technique. Vincent Bordelais, dépanneur de père en fils, nous explique son quotidien.

Dernière modification : 29/12/2025 16:08

Dépanneur d’autoroute : un métier passionnant et exigeant
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Un dépanneur en intervention en train de charger un véhicule

© Adobe Stock
En cas de panne ou d’incident sur l’A63 dans les Landes, il faut faire appel à un dépanneur. « Des entreprises agréées par l’État interviennent en moins de 30 minutes pour les voitures », explique Vincent Bordelais, dépanneur de père en fils dont le garage est situé à Liposthey.

La première mission est de prendre en charge l’usager en difficulté. « Avant tout, il faut quand même rassurer le client parce qu’il est en état de stress. » Les questions sont nombreuses : « Est-ce que son assurance va prendre en charge ? Quel est le déroulé de la suite de l’assistance ? »

Alors, c’est quoi un bon dépanneur ? « C’est quelqu’un qui compte pas ses heures. Un métier de dépanneur, c’est toujours dehors, tout le temps, à toute heure et toujours tout seul. C’est une passion. »

Le professionnel entretient aussi une relation particulière avec les clients qu’il dépanne. « On reçoit d’autres présents, on nous amène des chocolats en fin d’année. Les gens sont relativement très attentionnés envers les dépanneurs. » Et quand il s’agit d’un accident, « on revoit les personnes, on voit que ça va mieux et c’est que du bonheur. »

Enfin, en cas d’incident sur autoroute, pour contacter un dépanneur, « il faut vous rendre sur les bornes d’appel d’urgence ou appeler le 112. Et pensez aussi à l’application SOS Autoroute. »
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