Intempéries : les bons gestes au volant
date 05/01/2024 - 05:23 | micro_reportage Christophe Buquet
Pluie, grêle, vent violent... Il faut adapter votre conduite lorsque les conditions météorologiques sont défavorables. Comment ? Réponse dans Question d'Autoroute.
Intempéries : les bons gestes au v…
Intempéries : les bons gestes au volant
play
0:00
0:00
volume-high
Dans le département des Landes, sur l’autoroute A63, il n'est pas rare de rouler sous la pluie, voire la grêle. Les conditions météo peuvent se dégrader rapidement en raison « d'intempéries assez violentes et ponctuelles, notamment des averses de pluie ou de grêle » explique Olivier Quoy, le directeur général d'Atlandes. « Il convient donc d'être particulièrement vigilant et de ralentir. »
Avec la pluie, la menace pour l’automobiliste, c’est l’aquaplaning : « C'est le risque n°1 qui résulte de la formation d'une mince couche d'eau, qui, avec la vitesse, peut conduire le véhicule à perdre de l'adhérence et donc de décoller un peu. Dans ce cas-là, inutile de donner des coups de volant. Au contraire, il faut surtout ralentir, c'est le seul moyen de retrouver de l'adhérence. »
Il faut faire attention aussi aux vents violents : « C'est un autre phénomène qui est plus sensible lors des manœuvres de dépassement de poids lourds » ajoute Olivier Quoy. « Quand on double un camion par vent fort, lorsque l'on a fini la manœuvre de dépassement, on peut se retrouver avec un brusque appel d'air qui va conduire souvent à un déport sur la gauche. Il faut donc être vigilant et bien conserver sa trajectoire. »
Et en cas d’intempéries, n’hésitez pas à faire une pause sur une aire de services ou une aire de repos.
Avec la pluie, la menace pour l’automobiliste, c’est l’aquaplaning : « C'est le risque n°1 qui résulte de la formation d'une mince couche d'eau, qui, avec la vitesse, peut conduire le véhicule à perdre de l'adhérence et donc de décoller un peu. Dans ce cas-là, inutile de donner des coups de volant. Au contraire, il faut surtout ralentir, c'est le seul moyen de retrouver de l'adhérence. »
Il faut faire attention aussi aux vents violents : « C'est un autre phénomène qui est plus sensible lors des manœuvres de dépassement de poids lourds » ajoute Olivier Quoy. « Quand on double un camion par vent fort, lorsque l'on a fini la manœuvre de dépassement, on peut se retrouver avec un brusque appel d'air qui va conduire souvent à un déport sur la gauche. Il faut donc être vigilant et bien conserver sa trajectoire. »
Et en cas d’intempéries, n’hésitez pas à faire une pause sur une aire de services ou une aire de repos.